Dans la note du 24 janvier j'expliquais que les premières structures humanitaires opérationnelles en Haïti étaient religieuses. Adventistes, baptistes ou encore jéhovistes disposent de réseaux humanitaires rompus et qui connaissent parfaitement le terrain haïtien. L'actualité a mis en évidence des risques de dérives avec "l'enlèvement" d'enfants par des baptistes. Reste encore à éclaircir cet épisode. Mis à part ce fait dramatique, la religiophobie d'analystes vient de toucher un sommet.