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  • Noël chez les adventistes (JL Chandler)

    Noel01.jpgLe 1er janvier 1884, une assistance est réunie dans une salle du collège adventiste d’Healdsburg en Californie durant « l’école du sabbat », un moment habituellement réservé à l’étude de la Bible par petits groupes. La salle est soigneusement décorée avec des fleurs, des gerbes de cyprès, des sapins et des feuilles d’automne. Une grande cloche en sapin est suspendue à une arche à la porte d’entrée. Un arbre est chargé de cadeaux (des dons monétaires) destinés aux pauvres. Durant la distribution des dons, on lit des textes bibliques et des pensées à méditer. Après le service, quelques personnes s’approchent d’une petite dame âgée de 58 ans. Ils lui posent la question : « Sœur White, que pensez-vous de cela ? Est-ce en harmonie avec notre foi ? » Ellen White ne trouve rien à redire. « C’est en harmonie avec ma foi », dit-elle.

     

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  • La création de la Revue adventiste (JL Chandler)

    revie.jpg Avant 1850, les adventistes n’ont nullement l’intention, et ne tentent jamais, d’évangéliser des incroyants. Cette surprenante attitude s’explique par leur croyance de « la théorie de la porte fermée ». Ils pensent (y compris Ellen White) que le temps de la miséricorde divine s’est achevé en octobre 1844, un peu comme lorsque Dieu ferma la porte de l’arche de Noé sur les antédiluviens. On ne peut plus rien faire pour ceux qui ont rejeté le message du retour du Christ (qu’ils acceptent sans assigner une date). Quand les adventistes parviennent à l’unité doctrinale au cours des conférences du sabbat (1848-1850), ils cherchent seulement à rallier les millérites à leur cause. En total contraste avec cette compréhension des choses, Ellen White reçoit une vision – déterminante dans l’évolution de l’adventisme – qui révèle que la proclamation de leur message sera mondiale. Mais ils ne comprennent pas ce qu’elle veut dire.

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  • « Les Eglises Evangéliques ne connaissent pas la crise »

    wall street.jpgLe titre est celui d'un excellent article de courrier international. Il fait et refait un lien intéressant entre religion et crise économique. Allez le lire sur le site du Courrier International. Il rappelle que les périodes de dérégulation économiques et sociales sont propices à l’engouement pour le fait religieux. Dans ce constat, les églises évangéliques se distinguent. Mais est-ce que cela veut dire que durant ces moments les individus sont plus naïfs ? Certainement pas. Elles sont plus propices à une réorientation du sens. L’essentiel se définit dans le symbolique, le religieux. Dans ce domaine, les communautés évangéliques américaines sont particulièrement performantes car elles font des connexions entre la réalité sociale, le religieux, et les solutions pratiques pour sortir de la crise tout en l’expliquant rationnellement. Allez, lisez l’article du Courrier et revenez ici commenter.

  • Les influences protestantes dans l'adventisme (JL Chandler)

    Culte protestant.jpgDésolé. Beaucoup me demandent de garder le rythme du blog. C’est le moment d’enchainer avec vous, pour vous, les notes historiques de Chandler. Durant quelques jours elles se succéderont autour de divers thèmes. Pour l’instant Jean Luc Chandler vous propose une réflexion autour des liens historiques entre l’adventisme et le protestantisme. Voilà qui débute bien une série de réflexion durant les fêtes de fin d’année.

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  • Cultive tes talents d’Etienne Séguier. A lire…

    Cultive tes talents.JPGDans une précédente note je relatais ma nouvelle attirance pour le courant chrétien de relation d’aide. J’ai été réticent au début. Maintenant je suis un conquis. Le travail de Jacques (Poujol) n’a pas été sans effet.

    Ce courant chrétien croule toutefois sur une impressionnante production livresque. En effet elle est au carrefour de plusieurs sciences humaines que sont la psychanalyse, la psychologie, la sociopsychologie et de la sociologie. S’ajoute la production théologique qui spécifie le cadre chrétien. Outre ces deux pôles désormais il y a l’émergence des études sur le cerveau avec les neurosciences, dans la continuité des travaux cognitivistes. Pas facile pour le courant chrétien de relation d’aide de faire le tri. Rappelons que ce courant, dynamisé en France par Jacques Poujol ne remplace pas l’apport de la psychanalyse. Il se propose de former des individus à l’écoute, l’accompagnement psychologique pour aider des individus là où les psychosciences établies n’interviennent pas pour plusieurs raisons. Il n’y a donc pas de concurrence entre relation d’aide et psychologie par exemple. On peut même imaginer un travail en concertation un peu comme le gynécologue obstétricien et la sage-femme. Le premier est là pour les cas pathologiques, la seconde fonctionnant sur l’autorité du premier, intervient surtout pour que les parturientes suivies bénéficient d’un accompagnement normal et optimal.

    Le livre d’Etienne Séguier Cultive tes talents doit à ce titre être signalé. Dans la simplicité, assumant l’éthique chrétienne, l’ouvrage est une invitation à ce que nous mobilisions et cultivions des ressources personnelles qui faciliteraient une réussite. Je n’en dirai pas plus car l’auteur a mis en ligne un blog où vous pouvez échanger sur son livre. Découvrez le BLOG CULTIVE TES TALENTS

     

     

    Titre : Cultive tes talents

    Auteur : Etienne Séguier

    Editeur : Desclée De Brouwer

    17 €