Avant que l'adventisme apparaisse dans l'actualité autour de l'affaire d'exorcisme de Gringy sans lien avec ses enseignements et donne mon nom en patturge sous l'impulsion de son service de communication, je revenais sur des entretiens réalisés avec des adventistes autour de la sexualité. Pourquoi ? Parce que des adventistes m'ont transmis à ma demande des informations sur leur représentation de la sexualité alors que je m'y attendais plus. J'ai donc un peu plus de 50 entretiens sur le sujet, mais surtout une autre cinquantaine de réponse à des questionnaires gradués. Ce n'est pas représentatif, mais une série de données exploratrices pour défricher la question. Je revenais sur cette enquête parce qu'un adventiste m'a transmis un compte rendu de conférence sur la sexualité sur un support interactif. Merci de nouveau à lui. Alors poussé par ce dernier surtout à cause de problématiques aiguës comme la sexualité des célibats subits, des handicapés ou des veufs, je me demandais comment comparer la place du plaisir dans la sexualité chez des membres adventistes avec des données que l'on a en sociologie sur la société globale.
Alors que je dépêtre encore à rendre comparable des populations à première vue hétéroclites en raison de la technique de recueil d'information, je suis tombé sur cet article. Il n'a rien à voir avec les adventistes. Il me permettra d'avancer, surtout d'être conscient d'une tendance à connaître et des erreurs de conclusions à éviter.
croyants et sexe
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Sexualité des athées et des croyants (note du 21/06/11 republiée)